Fanfiction Warcraft III

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Le Feu du Ciel

Par Vincent
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Prologue

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Un jour les ténèbres ont recouvert notre monde et Azeroth tout entier trembla devant la horde des orcs qui dévastaient nos terres. Il fallut le courage d'hommes valeureux pour permettrent à l'alliance humaine de vaincre. Nous pensions en avoir fini avec les orcs et alors que nous reconstruisions lentement ce qui avait été détruit, la vengeance des orcs allait s'abattre sur nous.

Ainsi, neuf ans après la première guerre les orcs sortirent de la porte noire, lien entre notre monde et le leur. Ce fut alors un combat acharné, et c'est à ce moment-là que sur son lit de mort mon maître me dévoila la connaissance des mages disparu de lordaeron.

Il me raconta que la prophétie parlait d'un orc qui, avide de venger ses pères, détruirait la race humaine. Ce mystère qui entourait notre ordre venait de m'être dévoilé. Je ne savais pas encore qu'il allait hanté mes nuits et mes jours toutes ma vie. J'appris que des orcs avaient été mis en esclavage dans des camps de travail. Leur shamans puaient la haine et ils poussaient les jeunes ocrs à se rebeller. Ainsi, la troisième guerre commença.

Le nombres d'ocrs de la horde ne faisaient qu'augmenter et alors que les orcs s'alliaient aux trolls, les armées de l'alliance tentèrent de les arrêter. Nombreux furent ceux qui crurent pouvoir arrêté la horde et les armées de toutes les terres d'Azeroth se lancèrent à corps perdus dans la bataille d'où elles ne revinrent jamais. L'alliance humaine se préparait donc avec les maigres ressources qui lui restait a organiser sa défense pour protéger son peuple et ses terres.
La tour ardente de mages de Lordaeron luisait dans la nuit tel un phare. J'avais l'impression d'être suivit par des ombres, des ombres qui me hantaient depuis la mort de mon maître. Avec la clef que ce dernier m'avait confié, j'ouvris les lourdes portes de Tisendard, la légendaire tour des puissants mages de Lordaeron.

Les appartement de mon maître était emplis de vieux grimoires renfermant le savoir universel de mon peuple. Sur sa table gisait encore un pot de sang de dragon noire importé d' Azeroth dans lequel trempait une plume de griffon comme j'en avait rarement vu. Je me décida donc de fouiller ses notes et j'y découvris plusieurs éléments qui pourrait m'aidez dans mes recherches. J'appris que des survivants de notre ordre s'étaient réfugiés à Tazgarod. Je décida donc de m'y rendre dans l'espoir d'en apprendre plus sur notre sombre prophétie.

Je ressortis et referma soigneusement la majestueuse porte derrière moi et là je les sentis plus près que jamais, ces ombres qui m'avait suivit depuis Minas Thorhul. Je hâtais mes pas pour arriver sur la place central de la ville et là je vis une agitation sans précédent. Des gens criaient que les orcs étaient au portes de lordaeron. Je vis sur les remparts les soldats s'affairer à mettre en place les balistes prêttent à repousser les orcs. Les orcs que chacun redoutait tant avait donc réussi à arriver à Lordaeron l'imprenable, leur force était donc plus grande que je ne l'imaginais.

J'eu le temps de prendre mon cheval et déjà j'entendais le grondement des orcs et de leurs machines infernales qui déversaient leur fureur et leur rage sur les remparts. Je chevaucha toute la nuit toujours poursuivit par ses ombres. La lassitude de me sentir ainsi suivit me poussa à m'arrêter et à crier dans les ténèbres : Venez que voulez vous de moi ? Approchez ! Personne ne répondit à mon appel et pris de peur par ma propre audace, je repris mon cheval et m'élança vers la ville portuaire de Tazgarod.

Ce n'est qu'à mon arrivée que j'appris la chute de Lordaeron. Ce matin, je me levai en essayant d'oublier le lieu ou j'étais né et où je ne retournerais jamais.
Luther pris un verre de vin et le porta à ses lèvres. C'était un de ces moments de répit comme il en avait si peu depuis le début de la guerre.

- Sir, un homme veux vous voir dois- je le faire entrer ?

- Vas-y et dit lui que je n'est pas le temps de bavarder !

A peine eu-t-il finit son verre qu'un homme encapuchonné entra.

- J'ai fait un long chemin pour vous voir.

Sa voix résonnait dans le cerveau de Luther comme un appel provenant des ténèbres.

- Que me veux-tu ?

- Je viens vous parler d'un mal qui nous rongent et qui finira par nous détruire ! Je viens de Lordaeron, cette ville a été détruite et je ne donne pas cher pour la vie de votre ville.

- Tazgarod a résisté aux assaut des orcs pendant les deux grandes guerres, jamais elle ne sera prise et si vous...

- Pauvre fous que nous sommes, moi aussi je croyais que Lordaeron était imprenable comme nous le disait sa réputation mais le mal que nous affrontons est bien trop puissant pour être arrêté par des murailles.

- Si vous êtes venu détruire le moral de mes troupes et du mien, partez, nous n'avons pas besoin d'homme comme vous.

- Oh mon seigneur vous n'avez pas idée de ce qui se cache derrière les orcs et de l'utilité dont je vais vous être.

- Mais parle donc !

- Si t'elle est votre désir...

Et le mystérieux mage lui expliqua le secret qui lui avait été confié et qu'il désirait rencontrer les survivants de son ordre réfugiés dans cette ville.

- Cela fait déjà trois mois qu'ils sont partis dans les cités naines, mon père à tenter de les retenir mais ils ont soutenu la même thèse apocalyptique que vous avancé.

- Ce n'est pas une thèse, cet orc existe je l'ai vu alors que je fuyais le carnage de la ville, j'ai vu une créature immense qui tranchait de ses mains les corps de soldats de Lordaeron.

- Je ne sais pas si vous dites vrai, mais les rumeurs me rapportent la présence de la même créature. C'est pour ça que pour vous aider dans votre quête, je veux bien vous donnez une escorte.

- Bien que je préfère voyagez seul, les routes pour les cités naines sont infestées d'orcs, donc je voudrais des compagnons silencieux et puissants.

- Je vous ferai escortez par le meilleur artilleur nain de toute la région et par mon meilleur paladin en espérant que leur absence ne se fasse pas sentir le jour ou nous auront à nous défendre.

- Merci sir, je me retire, envoyez vos hommes à l'auberge du dragon rouge.
Son capuchon rabattu sur sa tête, Gorazul regardait ses frères se jeter sur les remparts de Lordaeron, poussant leur cri de guerre et là il le vit celui qui avait unifier les orcs : Morgal. Il avançait de ses pas de géant et tranchaient les soldats qui osaient se mettre sur son chemin. On racontait dans le campement orc que ces généraux avaient eux mêmes peur de Morgal et des incantations qu'il psalmodiait la nuit dans sa tente.

A l'image du carnage auquel il assistait, Gorazul était emplit de courage pour l'avenir de son peuple, il pensait que rien ne pourrait les arrêter et que leur guerre se terminerait par un monticule défiant les cieux où serait empilé les cadavres de leur ennemis.

- Gorazul, que fait tu viens nous devons combattre !

- J'arrive Mork.

Et sur ces mots, Gorazul se lança avec ses frères sur les remparts de Lordaeron alors que se détachait au loin la silhouette d'un homme fuyant le carnage.

On frappait à la porte, l'homme se leva d'un air fatigué et ouvrit la porte.

- Nous venons de la part de Luther, vous êtes le dernier mage de Lordaeron n'est ce pas?

- L'un des derniers. Votre mission est de m'escortez jusqu'aux cités naines des montagnes des pics brumeux.

- Bien, quand partons nous ?

- Dés que j'aurais fait mes bagages. Sur ces mots l'homme se leva prit un grimoire qui traînait sur sa table et mit un pot de sang de dragon noir et une plume de griffon dans sa besace.

- Allons-y.
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